Quando algo é comparada a outro


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o carvão inglez é o melhor e o mais barato. Ainda que se concede isto no passado, agora é reconhecido que o carvão das minas de Pocahontas occupa o primeiro lugar entre todos os do mundo. Estas minas que teem estado em exploração durante poucos annos, produziram em 1892 umas 4,735 toneladas, mas sua producção tem augmentado constantemente, pois em 1898 se extrahiram dellas 4,600,000 toneladas. O carvão de Pocahontas é dos chamados brandos, semi-betuminoso, e recommenda-se por sua enorme força calorifica que o faz o carvão mais generador de vapor para as machinas, por sua pequena quantidade de escorias e cinzas, e a minima quantidade de fumo que desprende.

Este carvão tem sido adoptado officialmente pelo Governo dos Estados Unidos a bordo de seus cruzadores, e tambem tem sido provado e adoptado até certo gráu pela Grå Bretanha, com não pouco assombro dos inglezes que creiam que seu carvão nacional era muito superior. Isto é em si mesmo para o carvão de Pocahontas uma garantia e reconhecimento de qualidade de primeira ordem.

Como prova concludente do dito, citam-se em seguida os relatorios dados por dous subditos britannicos muito proeminentes. Sir Julian PAUNCEFOTE, Embaixador de Sua Magestade Britannica em Washington, dirigiu em Março de 1894, um relatorio a Lord Roseberry, naquella epocha Primeiro Ministro do Reino, relatorio

que

foi transmittido ás duas Camaras do Parlamento inglez, por ordem da Rainha. Sir Julian se exprime desta maneira:

A grande crise de carvão de 1893 e as facilidades que tem dado aos competidores estrangeiros, tem sido objecto de muita discussão na imprensa, demonstrando ao publico que é um erro creer que a Inglaterra produz o carvão mais barato no mundo. Ao contrario, em quanto se refere aos Estados Unidos, devemos tel-os sempre presentes, si não queremos perder nossa supremacia como paiz productor de carvão. Tem-se chamado a attenção para o facto de que havendo os Estados Unidos desde ha alguns annos produzido seu carvão a um preço de pouco mais da metade do de nosso paiz, tempo virá em que poderão fazer concorrencia comnosco em nossos mesmos mercados. Os carvões da Virginia são dos melhores que existem para a producção do vapor; sua superioridade está demonstrada pela pequena quantidade de cinza e de sulphuro que deixam, e a enorme proporção de carvão e combustivel volatil que conteem.

Em apoio do exposto, pode-se citar um discurso pronunciado por Mr. T. FORSTER Brown, de Cardiff, perante a Sociedade de Artes, em 26 de Abril de 1899, no que fallou do assumpto como segue:


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agricoles étrangers pour une valeur de $314,291,796 contre $400,871,468 en 1897, soit une diminution de 22 pour cent envi

Une partie considérable de l'accroissement dans les exportations agricoles est due à l'augmentation dans les envois de grains, occasionnée par l'insuffisance des récoltes à l'étranger.

Il y a eu une plus-value de $1,000,000 environ dans le blé et la farine de blé seulement, tandis que la valeur totale des céréales envoyées à l'étranger s'est élevée de $197,857,219 en 1897 à $333,897,119 en 1898. Quoique ces augmentations énormes en valeur aient résulté en partie des prix plus élevés en cours, il y a eu en même temps une augmentation importante dans la

quantité expédiée. Pendant l'année, on a expédié 148,231,261 boisseaux de blé contre 79,562,020 dans l'année précédente. En 1898 la moyenne du prix d'exportation a été de 98.3 cents par boisseau, soit une valeur totale de $145,684,659; cette somme accuse une augmentation de $85,764,481 sur 1897, quand le prix moyen n'était

que 75.3 cents par boisseau et la valeur totale que $39,920,178. Ces expéditions et cette évaluation totales n'ont été dépassées qu’une fois dans l'histoire du pays, en 1892, quand les exportations de blé se sont élevées à 157,280,351 boisseaux, d'une valeur totale de $161,399,132.

Les exportations de farine de blé n'ont pas beaucoup augmenté en quantité pendant 1898, mais l'augmentation en valeur a été très importante, s'élevant à $13,349,371, ce qui fait une valeur totale de $69,263,718. Le prix moyen d'importation par baril a été de $4.51 en 1898 contre $3.84 en 1897. La quantité de farine exportée en 1897 équivalait à 65,562,952 boisseaux de blé et celle exportée en 1898 à 69,074,744 boisseaux, ou, si l'on fait le calcul en grains, les expéditions de blé et de farine de blé s'éleveraient par conséquent à un total de à 145,124,972 boisseaux pour 1897 et à 217,306,005 boisseaux pour 1898.

En 1898 les exportations de maïs viennent immédiatement après celles de blé. Les expéditions de ce grain ont augmenté d'une manière remarquable pendant ces dernières années, atteignant un total pendant l'année fiscale dernière de 208,744,939 boisseaux, soit un gain sur l'année précédente de 31,828,574 boisseaux. Quoique la hausse du prix d'exportation de cette denrée ne soit pas aussi remarquable que celle du prix de blé, elle a été cependant très importante. En 1898 le prix moyen annuel a été de 35-5 cents contre 30.6 cents par boisseau en 1897. La valeur totale a été de $74,196,850, ce qui donne une augmentation de $20,109,698 sur l'année précédente. L'augmentation dans les exportations de farine de maïs a été aussi très remarquable, s'élevant à 827,651 barils, d'une valeur de $1,766,068, contre 475,263 barils, évalués à $902,061, en 1897. Les expéditions de farine de maïs se montent à 3,310,604 boisseaux, les deux ensemble (maïs et farine de maïs) s'élevant en 1898 à 212,053,543 boisseaux.


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sont élevées à 200,185,000 livres, d'une valeur de $18,987,525, soit un gain de 34,538,559 livres en quantité et de $3,017,504 en valeur. Il y a eu une diminution dans la moyenne du prix annuel d'exportation de 9.7 cents en 1897 à 9.5 cents en 1898. Le porc en saumure a augmenté en quantité de 21,364,158 livres, soit 88,133,078 livres en 1898. La moyenne du prix annuel d'exportation a augmenté de 4.9 cents à 5.6 cents, la valeur des expéditions étant de $4,906,961. Les exportations de bæut salé ou en saumure ont diminué en volume et en valeur, les exportations du premier étant de 37,109,570 livres, évaluées à $3,279,657, soit une perte de 16,910,202 livres et de $1,376,651 en valeur sur l'année précédente. Le prix moyen d'exportation a augmenté de 8.6 cents à 8.8 cents par livre.

En ces deux produits il y a eu une diminution de 23,398,461 livres en la quantité exportée et de $1,145,659 en valeur, en 1898 les expéditions se sont seulement élevées à 44,314,479 livres, d'une valeur de $2,368,467.

Les expéditions de beurre pendant l'année ont été seulement de 25,690,025 livres, soit une diminution de 5,655,199 en livres et de $628,599 en valeur, quoique le prix d'exportation a accusé une augmentation de 14.3 à 15 cents par livre. La valeur des exportations de l'huile de graine de coton a montré une augmentation de presque 50 pour cent sur 1897, soit un total de 40,230,784 gallons, la valeur totale des expéditions montant de $6,897,361 à $10,137,619. Il y a eu une légère diminution dans la

moyenne de l'évaluation annuelle par gallon pour 1898, soit de 25.4 cents à 25.2 cents par gallon. Les expéditions de tourteaux et de farine de tourteau ont montré une augmentation de 301,643,616 livres, ou un total de 1,358,136,702 livres. Le prix d'exportation montre peu de variation; la valeur des expéditions signalées pour 1898 était de $12,601,820, contre $9,611,044 en 1897.

Le nombre de bestiaux expédiés à l'étranger en 1898 a été de 439,255, d'une valeur de $37,827,500; les expéditions en 1897 se sont élevées à 392,190 têtes, d'une valeur de $36,357,451. La moyenne du prix annuel d'exportation a baissé de $92.70 à $86.12 par tête. Le nombre de moutons exportés a été de 199,690, soit 44,340 de moins qu'en 1897. La valeur de ces animaux a baissé de $1,531,645 en 1897, à $1,213,886 en 1898. Le nombre de chevaux exportés a augmenté, étant de 51,150 en 1898 au lieu de


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ception de 19,841 livres de mercure, dont la valeur n'est

pas

donnée) sont évaluées à $1,836,036.

La province d'Antofagasta se compose de trois départements : Antofagasta, Toltol et Tocopilla, le premier étant le plus impor

Chacun des trois départements possède un port du même nom et c'est par ces ports qu'on expédie presque tous les produits. On dit qu'Antofagasta est d'une richesse merveilleuse en or, argent, cuivre, plomb et anhydrite. On trouve l'or dans des fissures ou filons bien marqués. La grande difficulté à l'exploitation auritère est le manque d'eau, qu'il faut transporter une distance de 36 milles au moyen de charrettes au prix de $8.74 par tonne; il en résulte que la production annuelle de l'or est seulement de

Les fameuses mines de Guanaca sont situées dans le Toltol. Il y a 10 ou 15 ans, ces mines produisaient assez de minerai pour employer quatre grands établissements, mais la production a diminué pour de nombreuses raisons, de sorte qu'à présent le rendement annuel n'est qu'une demie tonne environ. Le département de Tocopilla ne produit qu'une très petite quantité d'or.

L'argent produit dans l’Antofagasta en 1873 par une seule mine était de 551,150 livres (250,000 kilogrammes), mais actuellement la production annuelle des 10 principales mines ne s'élève qu'à 55,115 livres (25,000 kilogrammes). Il y a quelques riches mines d'argent dans le Toltol qui produisent en tout environ 50,000 livres (22,860 kilogrammes) d'argent pur par an. Le Tocopilla ne produit pas d'argent.

La production du cuivre a beaucoup augmenté par suite de la hausse de prix du cuivre pur. Les minerais sont principalement les carbonates verts, les oxychlorures et les silicates; il y a très peu de cuivre sulfurique. Toutes les mines d’Antofagasta sont près de la surface. On estime la production entière à 12,000 tonnes par an, dont 15 pour cent de cuivre, soit 1,800 tonnes de cuivre fin. On a l'intention d'augmenter d'ici peu le développement de ces mines. Dans le Toltol, il y a aussi plusieurs mines de cuivre qui produisent environ 4,000 tonnes par an, dont 18 pour cent de minerai. Près du port de Tocopilla on a exploité plusieurs mines de cuivre d'une profondeur de 200 toises. Il y a aussi de riches mines de cuivre sur d'autres points du département. La production totale de Tocopilla est de 9,000 tonnes par an, dont 15 pour cent de minerai.


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AMENDEMENTS APPORTÉS AUX LOIS DE DOUANE.

La loi No. 1164, promulguée le 9 janvier, 1899, prescrit que:

L'importation de coton en coquille ou brut et de machines pour la fabrique de tissus de coton sera exempte de tous droits de douane pendant une période de 10 ans, à dater de la promulgation de la présente loi.

On a promulgué le décret suivant le 17 janvier, 1899:

À l'avenir, les douanes d'Antofagasta pourront admettre dans les magasins particuliers en entrepôt, les merchandises suivantes, sujettes à l'émission d'une caution en traites payables à trois mois, destinées à garantir leur sortie de la douane dans ce délai:

Riz, huiles, fusées, chancaca (sucre brut), allumettes, fil de laine, bois de construction, parafine, sacs vides, suif, bougies, dynamite, vitres pour fenêtres, à l'exception de vitres de couleurs.

D'après les stipulations de la loi No 1187, promulguée le 26 janvier, 1899, le gouvernement autorise l'importation en transit des articles suivants en passant par certains endroits de la Cordillère. La loi est ainsi conçue:

Art. I. On autorise l'importation en transit de laine, de crin et de peaux à l'état naturel, à travers les cols d'Antaco et de Longuimai dans le district douanier de Talcahuano, ainsi qu'à Pincon et à Nahuelapi, situés repectivement dans les districts de Valdivia et Melpulli.

Art. II. Le président de la République établira des règlements auxquels sera soumise l'importation dans le pays des marchandises précitées, ainsi que leur expédition à l'étranger.

COMMERCE DES DÉPARTEMENTS DU

BOLIVAR

En 1898, les Etats-Unis ont pris, malgré la guerre hispanoaméricaine pendant une partie de l'année, 85 pour cent des exportations du Département du Panama, République de Colombie, contre 82 pour cent en 1897. Mais bien que les Etats-Unis achètent si libéralement à la Colombie, ce dernier pays n'a reçu des Etats-Unis pendant la même période que 30 pour cent de ses importations, une diminution de 8 pour cent sur 1897, dont 3 pour cent au profit de l'Angleterre et 5 pour cent au profit de l'Allemagne.

Cette diminution semble due principalement aux exportateurs européens qui accordent un terme de neuf mois (quelquefois douze mois) de crédit, méthode commerciale qui ne trouve pas faveur avec les expéditeurs des Etats-Unis.


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La République Mexicaine, dit un rapport publié par “El Economista Mexicano,” produit actuellement de 70,000 à 90,000 tonnes de sucre par an.

La canne est cultivée dans 2,800 haciendas et ranchos environ, qui produisent de la cassonade et de l'eau-de-vie. Tous ces produits sont destinés à la consommation domestique.

Par contre, “ El Economista” dit que 500 plantations à Cuba produisent 1,000,000 de tonnes de sucre, ou en d'autres termes, Cuba produit plus de douze fois la quantité produite au Mexique avec un nombre de plantations cinq fois moins grand. La raison en est, d'après le journal cité, que le plantage du sucre se fait encore aujourd'hui au Mexique en grande partie d'après les systèmes les plus surannés, suivis depuis des siècles.

On emploie sur quelques grandes plantations une combinaison de méthodes anciennes et modernes, mais ces plantations sont situées à une altitude trop au-dessus du niveau de la mer pour obtenir les plus grandes récoltes et le meilleur développement de la canne.

D'un autre côté, sur la côte, le climat est chaud et humide, l'irrigation n'est pas nécessaire, la canne pousse rapidement, et en moins d'un an elle est mûre pour la récolte, et pendant des périodes variant de 8 à 15 ans on peut obtenir des pousses du plantage originel. Ce sont là les régions ou l'industrie sucrière est praticable, et c'est sur elles que l'attention des planteurs commencent à se fixer.

Aux altitudes relativement élevées, où l'on cultive la plus grande partie de la canne, le bois et les autres combustibles sont rares, de qualité inférieure et très coûteux; le planteur est de fait limité à l'emploi de bagazo, résidu de la canne après le broyage, comme combustible. D'ailleurs, la canne est très dure et le pour et le pour cent de matière saccharine et petit.

Par contre, sur la côte, le combustible est abondant et le bas prix permet l'emploi des procédés les plus perfectionnés pour l'extraction du suc de la canne. Le climat rend la cane très molle, et en se servant du système de diffusion elle peut produire de 12 à 13


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estime à 202,916 livres sterling la valeur de toutes les qualités pendant l'année écoulée, contre 206,047 pour l'année précédente; en 1897 de 1,140,523 kilos, et en 1898, 829,935 kilos.

Cette diminution est due à l'inaccessibilité toujours croissante des arbres produisant du caucho, ceux qui sont d'accès facile étant devenus rares, par suite des méthodes destructives du cueillage de la gomme. Au lieu de pratiquer une entaille dans l'arbre, on l'abattait. Les arbres sont tous sauvages, et il faudra plusieurs années pour leur permettre d'atteindre une croissance suffisante pour permettre une autre récolte.

Une autre cause de la diminution dans le rendement de caoutchouc l'année dernière, et qui a peut-être autant d'importance que la raison citée précédemment, est qu'un grand nombre de ceux qui recueillent le caoutchouc sont partis pour la Jurua et autres rivières brésiliennes, d'où, toutefois, on a de bonnes raisons de le croire, la majeure partie reviendra. En général, les Caucheros ne sont pas familiers avec la récolte du jebe, ou caoutchouc fin, mais ils l'apprennent, et à leur retour au Pérou, ils y consacreront sans doute plus d'attention. La proportion du jebe au caucho a considérablement augmenté dans ces derniers temps.

On récolte le jebe ou caoutchouc fin au moyen d'insicions pratiquées sur ·l'arbre, un certain nombre d'arbres étant placés sous la surveillance du récolteur qui les visitent journellement pour recueillir le caoutchouc.

En plus du caoutchouc, le district produit de la salsepareille, du cacao, du coco, du copahu et des gommes diverses. Aucun de ces articles n'est un article régulier de commerce, à cause des prix élevés et du manque de bras.

Il est presque certain que ces produits, ainsi que beaucoup d'autres produits naturels, avec l'application du travail amélioré, pourraient être cultivés avec succès. Les produits du district sont, pour ainsi dire, inconnus et leur développement exigera beaucoup

L'indigotier pousse à l'état sauvage dans le voisinage immédiat d'Iquitos, mais on n'a fait aucun essai de culture ou de préparation. Comme industrie purement locale, elle devrait promettre les meilleurs résultats. Toutefois le climat est très énervant avant d'arriver aux hautes montagnes, et il en est de même sur tous les fleuves navigables. La maladie principale qu'on a à craindre est la malaria et les fièvres qui s'en suivent, mais on dit que la fièvre jaune est inconnue.

On trouve l'or dans plusieurs des rivières, et pendant l'année écoulée on a envoyé plusieurs corps de mineurs pour en faire la recherche. Jusqu'ici on n'a obtenu que de l'or à l'état de poussière et cela en quantités peu rémunératrices. D'après les indications, il semble que l'existence de l'or, en quantités considérables, est un fait incontestable, mais on n'a pas découvert les endroits précis des gisements. Une compagnie de mineurs est maintenant établie sur la rivière Napo, où ils ont trouvé, paraît-il, l'or en quantités assez considérables. Il est très dangereux de pénétrer dans quelques endroits où l'or existe, à cause de l'hostilité des Indiens sauvages, à moins, toutefois, d'avoir une escorte considérable et bien organisée.

Les feuves principaux sont assez bien connus, mais on n'a pas exploré les plus petites rivières. Le trafic se fait au moyen de canots et de quelques chaloupes, dont plusieurs ont Iquitos pour rendez-vous principal. Sauf sur le bord des rivières, le pays est presqu'inconnu, car la plus grande partie est couverte d'une forêt épaisse. Il offre, sans doute, un riche champ à l'exploitation commerciale.


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COLOMBIA:

Page. Coffee, repeal of export duty on

1612 Colombian Traction and Express Company

1420 Customs regulations...

1580 “La Republique de Colombie," publication received..

1419 Match monopoly, agreement concerning...

2165 Panama Canal concession...,

1997 Shoe and leather trade of Barranquilla, the .

2162 Trade of Panama and Bolivar..

2158 Trade statistics..

1768
Trade with New Orleans, value of (correction)

r221 Trade with the United States.

1384 COMMERCIAL POSSIBILITIES IN MEXICO.

II 80 COSTA RICA : Decrees, official

1770 Documents Relating to the Independence," publication received .

2201 Mines and agriculture ..

1581 Rubber culture, growing interest in

1194 CUBA: Life-insurance contract, publication received

1420 ECUADOR: Cacao, crop of, in 1898

1420 Consular fee, official

1613 Gold standard, adoption of

1770 Guayaquil and Quito Railway

1195 Tariff, modification of....

1420 Trading port, opening of

1613 Treaty of reciprocity with Chile.

1395 EMORY, FREDERIC, REAPPOINTED DIRECTOR, PROVISIONALLY..

1748 FOREIGN TRADE OF THE UNITED STATES IN AGRICULTURAL PRODUCTS.

2137 GUATEMALA: Agricultural conditions and prospects..

1583 Cabrera, President, administration of..

1967 Commerce, foreign, control of......

1196 Puerto Barrios and Northern Railway.

1727 Haiti: Commercial development, possibilities of.

1773 Copper and iron mines

2166 Export duties, petitions to lower . Import duties, increase of ...

1420 Importations, surtax on

2166 Mineral deposits

1199 Sugar, manufacture of

1198 United States capital, demand for .

1613 HASTINGS, GENERAL, APPOINTMENT AND DECLINATION OF, AS DIRECTOR OF THE BUREAU OF THE AMERICAN REPUBLICS

1745 Hawaii: Commerce in 1898.....

1969 HONDURAS: Import and export statistics for 1898.

1970 Imports from the United States..

I 200 New presidential administration.

1589 Resources of the Republic ...

1590 Tin, deposits of.....

1809 United States school books, adoption of..

1809


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